2019-10-15-Dlva Et Agriculture.mp3 (3.84 Mo)
En adoptant une charte agricole avec plusieurs partenaires, l’agglomération manosquine répond de belle manière – et bien plus – aux remarques formulées par le préfet du 04 lors de l’établissement du SCOT. Je rappelle qu’il y a près de trois ans, dans la démarche du schéma de cohérence territoriale, la DLVA s’était vue retoquée ses travaux pour un optimisme peu réaliste côté démographie et aussi pour une consommation excessive de terres agricoles. Elle a, depuis, corrigé ses prévisions.
L’agglo va donc créer une ZAP (zone agricole protégée) pour une servitude d’utilité publique s’appliquant aux documents d’urbanisme ; réponse directe et réglementaire aux remarques du préfet. Mais, la charte va plus loin que la seule préservation des terres agricoles ; outre les ressources en foncier et en eau comme le projet Regain à Valensole, elle établit des stratégies de développement pour lier le secteur agricole local avec les autres entreprises du territoire et ses habitants.
Avec la DLVA, d’autres acteurs s’engagent : le département des Alpes de Haute-Provence, les trois chambres consulaires ainsi que la chambre d’agriculture du Var par la présence de Vinon au sein de l’agglomération, les parcs du Verdon et du Luberon et bien sûr la SAFER qui faut-il le rappeler participe au développement durable des territoires ruraux.
Action transversale, la charte aborde les questions environnementales, économiques, touristiques et alimentaires toutes voisines de l’activité agricole.
Ecoutons trois signataires de cette charte agricole, le président de la chambre d’agriculture du 04 Frédéric Esmiol puis Dominique Santoni qui préside le parc du Luberon, mais d’abord, Armel Le Hen pour Durance Luberon Verdon Agglomération.
L’agglo va donc créer une ZAP (zone agricole protégée) pour une servitude d’utilité publique s’appliquant aux documents d’urbanisme ; réponse directe et réglementaire aux remarques du préfet. Mais, la charte va plus loin que la seule préservation des terres agricoles ; outre les ressources en foncier et en eau comme le projet Regain à Valensole, elle établit des stratégies de développement pour lier le secteur agricole local avec les autres entreprises du territoire et ses habitants.
Avec la DLVA, d’autres acteurs s’engagent : le département des Alpes de Haute-Provence, les trois chambres consulaires ainsi que la chambre d’agriculture du Var par la présence de Vinon au sein de l’agglomération, les parcs du Verdon et du Luberon et bien sûr la SAFER qui faut-il le rappeler participe au développement durable des territoires ruraux.
Action transversale, la charte aborde les questions environnementales, économiques, touristiques et alimentaires toutes voisines de l’activité agricole.
Ecoutons trois signataires de cette charte agricole, le président de la chambre d’agriculture du 04 Frédéric Esmiol puis Dominique Santoni qui préside le parc du Luberon, mais d’abord, Armel Le Hen pour Durance Luberon Verdon Agglomération.